Dans le Loiret, "les conditions de confinement des jeunes isolés étrangers ne garantissent pas toujours leur sécurité"

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Sans école, pas de repas pour certains

Avec une quinzaine d’autres bénévoles du collectif, Ségolène Petit reste en contact téléphonique étroit avec eux, afin de leur expliquer la situation actuelle et la nécessité du confinement. "Pour ceux qui sont hébergés en hôtel, l’aide se met en place. Certains sont dans une situation ultraprioritaire. Ils ne perçoivent aucune allocation et ne mangent que quand ils vont à l’école. Pendant les vacances, on les aide à s’organiser, mais là, ça a été soudain."