Source : Cour européenne des droits de l’homme (CEDH)]
Date : Arrêt du 04 juin 2020, Requêtes n° 15343/15 et 16806/15
Extraits :
« 156. La Cour rappelle que, pour tomber sous le coup de l’article 3 de la Convention, un mauvais traitement doit atteindre un minimum de gravité. L’appréciation de ce minimum est relative ; elle dépend de l’ensemble des données de la cause, et notamment de la nature et du contexte du traitement, de sa durée, de ses effets physiques ou mentaux ainsi que, parfois, du sexe, (...)
Voir en ligne :
https://hudoc.echr.coe.int/fre#{%22...
Document joint :
affaire_association_innocence_en_danger_et_association_enfance_et_partage_c._france_1_.pdf
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Source : Tribunal administratif de Lyon, juge des référés
Date : Ordonnance du 17 avril 2020 n°2002702.
Extraits :
« 5. L’intervention du juge des référés dans les conditions d’urgence particulière prévues par l’article L. 521-2 du code de justice administrative est subordonnée au constat que la situation litigieuse permet de prendre utilement et à très bref délai les mesures de sauvegarde nécessaires. Il incombe, dès lors, au juge des référés d’apprécier, dans chaque cas, en tenant compte des moyens (...)
Document joint :
ta_lyon_17042020_2002702.pdf
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