Source : www.itele.fr
Date : 25/02/2016
Alors que l’Etat s’apprête à démanteler la partie sud du bidonville de Calais, les associations s’inquiètent du sort de quelques 300 mineurs isolés (sans famille) qui y vivent. Pour eux, l’attraction de l’Angleterre étant si forte que, depuis le début de l’année, seule une vingtaine de mineurs isolés ont accepté de rejoindre les centres d’accueil mis à disposition par l’Etat français.
Publié le
25 février 2016
- Mis à jour le
3 mars 2025